Je reviens aujourd'hui avec un article un peu spécial qui ne va
pas parler d'une marque de prêt-à-porter que j'ai découverte, de mes tactiques
quand je fais du sport ou de robes de mariées, mais plutôt un article qui va
évoquer le fait de faire des choix dans sa vie... J'avais envie d'écrire un
petit peu, sur mon état d'âme du moment et mes petites faiblesses.
Dans la vie, j'ai toujours eu peur de pas
réussir. J'en demande toujours plus. Mon rêve est d'avoir un travail qui puisse
m'épanouir pleinement, d'être heureuse d'y aller et d'avoir le sourire chaque
matin en me levant. Je voudrais tellement être fière de moi, de ce que j'ai
accompli et de mon parcours. Je désire voyager, avoir un poste à
responsabilités, évoluer dans les domaines qui me passionnent : bref, réussir.
En ce moment, je me jette à corps perdu
dans le travail, et je commence à en voir les conséquences. Tant positives que
négatives. Vouloir se surpasser dans tous les domaines est finalement chose
impossible et je crains de passer à côté de choses importantes. Je suis sur
tous les fronts, j'essaye de développer tout ce que je peux. Mais voilà, je
n'arrive plus à suivre. En grande réflexion par rapport à l'importance de faire
des choix dans la vie, je me suis dit que ça pouvais peut être en intéresser un
ou une de passage sur le blog.
Cette année signera mes 23 ans, déjà. Et
tout ça me fait beaucoup réfléchir. Certes, j'ai pu développer pleins de
compétences, travailler dans de nombreux domaines etc.. mais cumuler plusieurs
activités n'est pas la meilleure des idées que j’ai eu. Peut-être devrais-je vraiment me concentrer sur une seule chose, et le faire à fond.
Alors je suis en train de réfléchir sur l’importance de faire le
tri dans ses activités, de penser un petit peu à soi égoïstement et de se
concentrer uniquement sur ce qui nous rend heureuse. C’est bien beau de penser
cv, avenir professionnel et expériences, mais qu’en est t’il de vivre ? Et si on arrêtait un petit peu le temps plutôt que de lui courir après ?
Depuis qu'on est jeune on entend que c'est la crise, qu'il n'y a pas d'emploi, que ça va être dur dans la vie. Alors on donne tout ce qu'on a, on espère, on travaille dur, on est bénévole, on est stagiaire, on est dévoué. On a été conditionné à avoir peur de l'avenir. Alors on redouble d'effort, et à ce moment là, on oublie de vivre.
Ce discours utopique cherche juste à apporter un peu de bonheur dans cette journée et à faire réfléchir sur les importances d'une vie. Parce que certes l'avenir est important et il faut le construire, mais il faut aussi le ressentir, le consommer, le respirer, l'éprouver, l'expérimenter.
Depuis qu'on est jeune on entend que c'est la crise, qu'il n'y a pas d'emploi, que ça va être dur dans la vie. Alors on donne tout ce qu'on a, on espère, on travaille dur, on est bénévole, on est stagiaire, on est dévoué. On a été conditionné à avoir peur de l'avenir. Alors on redouble d'effort, et à ce moment là, on oublie de vivre.
Ce discours utopique cherche juste à apporter un peu de bonheur dans cette journée et à faire réfléchir sur les importances d'une vie. Parce que certes l'avenir est important et il faut le construire, mais il faut aussi le ressentir, le consommer, le respirer, l'éprouver, l'expérimenter.
« La vie passe trop vite, si tu ne l’arrête pas de temps en
temps, elle te file entre les doigts. » La folle journée de Ferris Bueller